Lettres de Cuba : Octobre 2020


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Cette édition est illustrée avec las œuvres de l’artiste cubain Carlos Enriquez.

La revue Lettres de Cuba est déjà en ligne avec le dixième numéro de l’année 2020. Cette édition est illustrée avec las œuvres de l’artiste cubain Carlos Enriquez.

Rencontre ouvre sa section avec l’article Narcissisme et réseaux du critique du cinéma Rolando Pérez Betancourt à propos des sujets narcissistes et les rôles des réseaux soucieux. Le journaliste affirme :   « Aucun autre moyen ne peut donner au narcissiste l’admiration extrême dont il a besoin pour réaliser son bonheur dans un monde dans lequel il se croit le meilleur de tous car ils rendent tout « plus facile », cela signifie la capacité de déformer le véritablement important et de tricher, imposant ce qui vaut moins sur ce qui vaut le plus. »

Le chercheur Rafael Acosta de Arriba rend hommage à l’historien cubain Manuel Moreno Fraginals lors du centenaire de sa naissance. Il affirme que son regard d’historien doit être considéré comme pluriel, œcuménique et même totalisant dans le cas de notre devenir comme nation.

Virgilio López Lemus célèbre le centenaire de Maria Teresa Linares, une Cubaine savante. Elle est encore, à l’âge de cent ans, la vice-président de la Fondation Fernando Ortiz. Avec la vertu de son intelligence, María Teresa a eu un sens de constance et de ténacité durable et exemplaire.

Lettres propose le poème Ne te sauve pas, du journaliste, écrivain,  romancier et poète  uruguayen Mario Benedetti lors du centenaire de sa naissance.

D’autre part nous publions Lectures françaises de José Martí : Mensonges, de Paul Bourget (XVII) de Carmen Suarez León

« Bourget nous raconte l’histoire de la haute société française, analyse la sensibilité sociale et morale de la haute classe, peint ses milieux luxueux. José Martí a sûrement apprécié la valeur morale des thèses de Bourget qui postulaient la nécessité d’un renouveau du monde moral de la société moderne, gouvernée par le profit et la soif du plaisir. »

Interview offre l’entretien de Mario Cremata Ferrán avec la célèbre essayiste et critique d’art, Dr Graziella Pogolotti née à Paris en 1932, qui évoque le grand peintre Carlos Enríquez, l’un des représentants de l’avant-garde picturale du pays au siècle dernier.

Trésors aborde également la vie de Carlos Enríquez lors du  120e anniversaire de sa naissance. Il a légué une œuvre emblématique du modernisme cubain dont le Musée National des Beaux-arts possède une importante collection.

Arts présente la trajectoire artistique du danseur et chorégraphe cubain Johannes García reconnu avec le Prix National de Dance 2020, la plus haute distinction décernée par le Conseil National des Arts Scénique de Cuba.

Vivian Martínez Tabares fait un appel depuis la Casa de las Américas à soutenir le théâtre latino-américain. L’escalade de la pandémie dans nos pays,  nous fait craindre pour le sort de nombreux groupes et nous nous demandons encore et encore comment pourraient ont résoudre les problèmes croissants qui les affligent, en particulier ceux qui font partie du théâtre indépendant, qui, avec des salles fermées, n’ont pas de sources élémentaires de revenus.

La Virgen de la Caridad : 90e anniversaire d’un classique de Ronald Antonio Ramírez dévoile les détails de ce film, le plus important de la carrière du cinéaste cubain Ramón Peón. Nous devons à Ramón Peón le geste précurseur de la promotion d’un cinéma véritablement cubain.

Lire Martí édite la dixième  partie de l’Introduction au roman Lucía Jerez de Maria Poumier spécialiste d’histoire et de littérature latino-américaine et publiée par Éditons Patiño, Genève, Suisse, 2003.


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